jeudi 26 janvier 2012

Jayne Mansfield 1967 de Simon Liberati aux éditions Grasset





Présentation de l'éditeur:

« Aux basses heures de la nuit, le 29 juin 1967 sur un tronçon de la route US 90 qui relie la ville de Biloxi à La Nouvelle-Orléans, une Buick Electra 225 bleu métallisé, modèle 66, se trouva engagée dans une collision mortelle. »

Dans cette Buick broyée se trouvait une femme, une Hollywood movie star de trente-quatre ans, danseuse nue à Las Vegas, célébrissime sex-symbol des années 50.

Simon Liberati ressuscite Jayne Mansfield, l'actrice méconnue la plus photographiée au monde, fouille amoureusement dans les recoins les plus ténébreux de sa vie, retrace ses dernières heures en plein été hippie, lesquelles disent aussi le crépuscule de l'âge d'or hollywoodien. Au programme : perruques-pouf, LSD 25, satanisme, chihuahuas, amants cogneurs, vie désaxée, mort à la James Dean, cinq enfants orphelins et saut de l'ange dans l'underground.


Et j'en pense quoi?


 



En règle générale, j'ai tendance à faire davantage confiance au prix Fémina (La classe de neige, Où on va, papa?) qu'au Goncourt ou au Renaudot. Ne me demandez pas pourquoi, il n'y a aucune explication valable. Malheureusement pour moi, cette année, c'est une mauvaise pioche!

Je me berçais de la douce illusion d'en apprendre plus sur le destin tragique de Jayne Mansfield dont je connaissais peu l'histoire. Je connais désormais le nom de ses chiens et suis capable de vous décrire la voiture dans laquelle elle est décédée avec précision. Ca vous donne envie hein? J'en étais sûre!

Si vous aussi vous adorez qu'on vous abreuve de noms de personnalités tous les deux mots, qu'on vous parle a little en anglais parce que: c'est la classe, ce roman (roman?) est pour vous. Si vous avez envie d'en apprendre davantage sur son rapport aux hommes, ses relations avec ses enfants, sa descente aux enfers... allez voir ailleurs et profitez-en. 

En tout cas, on dirait bien que moi, je suis passée à côté...


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